ART PARIS ART FAIR
2019

04.04.2019 – 07.04.2019

La Loo & Lou Gallery a participé à l’édition 2019 d’Art Paris Art Fair. A cette occasion, la galerie a présenté les univers des artistes Lydie Arickx, Flo Arnold et Catherine Wilkening au Stand A21 du 4 au 7 avril.

LYDIE ARICKX

Peintre et sculpteure, Lydie Arickx est née en 1954 à Villecresnes de parents d’origines Flamande. Après des études (1974-1978) à l’École supérieure d’arts graphiques de Paris (ESAG),
présentée par Roland Topor, elle obtient sa première exposition personnelle en 1979 à la galerie Jean Briance (pastels et huiles).
Dès le début des années 1980, elle participe à des évènements internationaux comme la foire de Bâle, la FIAC ou Art Paris.
En 1988, elle présente son travail en Belgique, en Suisse, en Allemagne, aux Pays-Bas puis en Espagne et aux États-Unis (première exposition présentée par Amaury Taittinger à New York aux côtés de Francis Bacon).

L’artiste organise régulièrement des événements culturels sur de grandes scènes nationales (Art Sénat 2001…) mettant en scène l’art contemporain et le spectacle vivant (stages de créativité pour les écoles, entreprises, hôpitaux… manifestations culturelles, expositions).
Plusieurs de ses œuvres figurent dans les grandes collections publiques internationales (Musée National d’Art moderne de Paris, Centre Pompidou, Palais de Tokyo, FNAC…) et au sein de l’espace public (Hôpital Paul-Brousse à Villejuif, Centre Hospitalier Intercommunal de Créteil, IUFM de Mont-de-Marsan, MACS Saint-Vincent-de-Tyrosse, fresque pour la commémoration du centenaire des arènes de Dax en 2013…).

Son atelier est considéré comme un lieu d’expérimentation à part entière qu’elle aime partager avec tous publics.

FLO ARNOLD

Son métissage culturel, élément constitutif de son travail, s’est forgé grâce à de nombreux voyages et séjours à l’étranger, en Afrique, Europe et aux États-Unis. Ses installations témoignent de ce nomadisme existentiel : ses gestes sont le résultat de son parcours. Elle a participé en 2016 à la Biennale de Marrakech, durant laquelle elle a exposé au Musée de la Palmeraie, pour la première fois, ses installations en papier hydrofuge sur laiton gainé. Ses créations sont souvent retro éclairées et parfois complétées par du son. Le matériau utilisé, le papier japonais blanc, suggère l’éphémère et la fragilité, mais aussi une forme d’évanescence soulignée par une apparente lévitation. Les sculptures de Flo Arnold flottent ainsi dans des espaces qui ouvrent à la pensée, à la spiritualité, au voyage intérieur.
Citoyenne du monde, elle nourrit de manière métaphorique ses sculptures de ses rencontres.

Flo Arnold est née en France et a grandit au Maroc, à Casablanca. Elle a eu de nombreuses expositions individuelles en France et à l’étranger, notamment à la Biennale de Marrakech (Maroc), en 2014 et en 2016 et à la galerie Loo & Lou, à Paris (France), en 2018. Elle a aussi montré ses œuvres lors d’expositions collectives, à la Fondation Pierre Berger, à Paris (France) et à l’Institut du Monde Arabe, à Paris (France), en 2013 ; au Musée de la Palmeraie, à Marrakech (Maroc), en 2014 ; à l’Institut Bernard Magrez, à Bordeaux (France), en 2017, entre autres.
Récemment, lors de la foire JustMad 2019 à Madrid, l’œuvre Formes Nomades a été distinguée par le Premier Prix de la Room Mate Collection.
Actuellement elle vit et travaille entre le Maroc et la France.

CATHERINE WILKENING

Née à Dijon en 1963, Catherine Wilkening vit et travaille à Paris où elle se consacre à la sculpture à partir de 2003. Ce n’est véritablement qu’en 2015 qu’elle accepte d’exposer publiquement ses œuvres.
L’artiste doit également sa renommée à sa carrière de comédienne depuis le milieu des années 1980.
Ses sculptures s’inspirent et se nourrissent depuis toujours de la figure féminine, avec pour thèmes obsessionnels : la naissance, le chaos, la mort – la renaissance –, et lui procurent la jouissance d’accoucher éternellement, à partir d’une sensation, d’un mot, d’une image qui l’obsède ou s’impose dans l’instant.
À l’occasion de Art Paris, elle choisit de revisiter le Petit Chaperon Rouge, qui finit par devenir elle-même louve et mange la mère, la grand-mère et tous les loups. Une allégorie à ces bouches géantes et dévoreuses, à ceux que l’on nomme cannibales, car ils se nourrissent de leurs semblables.

Catherine Wilkening a participé à de nombreuses expositions collectives, telles que “Nature” à la Galerie Caroline Tresca, à Paris, France en 2016 ; à l’espace Suspenso, à Lisbonne, Portugal, en 2017 ; à la galerie HOMA à Lisbonne, Portugal, en 2018.
Elle a aussi présenté son travail lors d’expositions personnelles, notamment à la Galerie YenakArt Villa, à Bangkok, Thaïlande, en 2015 ; à la Vivienne Art Galerie, à Paris, France, en 2017 ; à la Loo & Lou Gallery, à Paris, France, en 2018 ; à la Ibugallery, à Paris, France, en 2018, entre autres.

La dernière période de l’œuvre de Matthias Contzen, s’inscrit dans la perspective d’un ensemble de quatre sculptures en basalte noir, choisies par l’artiste comme les expressions les plus abouties de ses recherches des années 2 000. Fusion, 2007, de même que Together We Are Strong, 2005, Slow Motion, 2010, et Family, 2011 – exposées dans l’espace du Haut Marais – explorent déjà l’intériorité de la matière. Entre matité et brillance, leurs formes organiques et sensuelles ondulent, se jouent de leurs interstices et tendent vers l’infini. Dans un langage abstrait à la fois personnel et universel, s’exprime une même aspiration : réunir, embrasser une harmonie aussi originelle que fragile.