JOHAN VAN MULLEM, « FOR LOVE’S S(N)AKE », ARTS LIBRE, MAI 2023
ARGHAËL, « UNDER MY SKIN », TRANSFUGE MAGAZINE, MARS 2023
TANC, « FRAGMENTS », URBAN ART, FÉVRIER 2023
TANC, « FRAGMENTS », TÉLÉRAMA SORTIR, FÉVRIER 2023
TANC, « FRAGMENTS », TRANSFUGE, FÉVRIER 2023
TANC, « FRAGMENTS », L’OFFICIEL DES SPECTACLES, JANVIER 2023
TANC, « FRAGMENTS », PARIS TONKAR, JANVIER 2023
TANC, « FRAGMENTS », TOUTE LA CULTURE, JANVIER 2023
TANC, « FRAGMENTS », ART HEBDO MÉDIAS, JANVIER 2023
Johan-Van-Mullem-Sans-titre-10-2021-Encre-sur-canvas-100x70cm
Johan Van Mullem
Sans titre 10 (2020)
Encre sur toile
100 x 70 cm
POUR PLUS D'INFOS >
Johan Van Mullem est peintre, dessinateur et sculpteur. Depuis son enfance, il dessine inlassablement des visages, thème central de son travail. Avec une sagacité instinctive, Johan Van Mullem capte l’essence d’une humanité enfouie, incarnée par des visages intemporels, à la limite de la représentation.
Johan-Van-Mullem-P20065-2021-Encre-sur-canvas-100x70cm
Johan Van Mullem
P20065 (2020)
Encre sur toile
100 x 70 cm
POUR PLUS D'INFOS >
Johan Van Mullem est peintre, dessinateur et sculpteur. Depuis son enfance, il dessine inlassablement des visages, thème central de son travail. Avec une sagacité instinctive, Johan Van Mullem capte l’essence d’une humanité enfouie, incarnée par des visages intemporels, à la limite de la représentation.
ohan-van-mullem-p18010-2018-encre-sur-canvas-160x30cm.jpg
Johan Van Mullem
P20064 (2020)
Encre sur toile
100 x 70 cm
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Johan Van Mullem est peintre, dessinateur et sculpteur. Depuis son enfance, il dessine inlassablement des visages, thème central de son travail. Avec une sagacité instinctive, Johan Van Mullem capte l’essence d’une humanité enfouie, incarnée par des visages intemporels, à la limite de la représentation.
ohan-van-mullem-p18010-2018-encre-sur-canvas-160x30cm.jpg
Johan Van Mullem
P18010 (2018)
Encre sur toile
160 x 130 cm
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Johan Van Mullem est peintre, dessinateur et sculpteur. Depuis son enfance, il dessine inlassablement des visages, thème central de son travail. Avec une sagacité instinctive, Johan Van Mullem capte l’essence d’une humanité enfouie, incarnée par des visages intemporels, à la limite de la représentation.
Johan-Van-Mullem-P18004-2018-Encre-sur-canvas-160x160cm
Johan Van Mullem
P18004 (2018)
Encre sur toile
160 x 160 cm
POUR PLUS D'INFOS >
Johan Van Mullem est peintre, dessinateur et sculpteur. Depuis son enfance, il dessine inlassablement des visages, thème central de son travail. Avec une sagacité instinctive, Johan Van Mullem capte l’essence d’une humanité enfouie, incarnée par des visages intemporels, à la limite de la représentation.
johan-van-mullem-p17033-2021-encre-sur-canvas-160x40cm
Johan Van Mullem
P17033 (2017)
Encre sur toile
160 x 140 cm
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Johan Van Mullem est peintre, dessinateur et sculpteur. Depuis son enfance, il dessine inlassablement des visages, thème central de son travail. Avec une sagacité instinctive, Johan Van Mullem capte l’essence d’une humanité enfouie, incarnée par des visages intemporels, à la limite de la représentation.
Johan-Van-Mullem-P18003-2021-Encre-sur-canvas-170x120cm
Johan Van Mullem
P18003 (2018)
Encre sur canvas
170 x 120 cm
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Johan Van Mullem est peintre, dessinateur et sculpteur. Depuis son enfance, il dessine inlassablement des visages, thème central de son travail. Avec une sagacité instinctive, Johan Van Mullem capte l’essence d’une humanité enfouie, incarnée par des visages intemporels, à la limite de la représentation.
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Olivier de Sagazan
Sans titre 5 (2022)
Acrylique, herbe, argile et matériaux mixtes sur toile
160 x 130 cm
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Né en 1959 à Brazzaville au Congo. Vit et travaille à Saint-Nazaire. Biologiste de formation, Olivier de Sagazan s’intéresse au vivant et cherche à établir à travers son oeuvre, une sorte de généalogie du sensible pour comprendre comment à un moment donné, la matière inerte structurée en cellules a engendré du vivant et de la sensibilité.
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Olivier de Sagazan
Sans titre 13 (2022)
Herbe, argile et matériaux mixtes
71 x 24 x 40 cm
POUR PLUS D'INFOS >
Né en 1959 à Brazzaville au Congo. Vit et travaille à Saint-Nazaire. Biologiste de formation, Olivier de Sagazan s’intéresse au vivant et cherche à établir à travers son oeuvre, une sorte de généalogie du sensible pour comprendre comment à un moment donné, la matière inerte structurée en cellules a engendré du vivant et de la sensibilité.
sans-titre-10-detail-2021-herbe-fleurs-argile-materiaux-mixtes-140x40x26-olivier-de-sagazan-scaled.jpeg
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Olivier de Sagazan
Sans titre 10 (2022)
Herbe, fleurs, argile et matériaux mixtes
120 x 32 x 23 cm
POUR PLUS D'INFOS >
Né en 1959 à Brazzaville au Congo. Vit et travaille à Saint-Nazaire. Biologiste de formation, Olivier de Sagazan s’intéresse au vivant et cherche à établir à travers son oeuvre, une sorte de généalogie du sensible pour comprendre comment à un moment donné, la matière inerte structurée en cellules a engendré du vivant et de la sensibilité.
sans-titre-6-160×130-cm-technique-acrylique-colle-herbe-argile-materiaux-mixte–scaled.jpg
Olivier de Sagazan
Sans titre 6 (2022)
Acrylique, herbe, argile et matériaux mixte sur toile
160 x 130 cm
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Né en 1959 à Brazzaville au Congo. Vit et travaille à Saint-Nazaire. Biologiste de formation, Olivier de Sagazan s’intéresse au vivant et cherche à établir à travers son oeuvre, une sorte de généalogie du sensible pour comprendre comment à un moment donné, la matière inerte structurée en cellules a engendré du vivant et de la sensibilité.
curiosité II-2015-grenade et terre crue – 6x11x9cm-Lydie-Arickx.
Lydie Arickx
Curiosité II (2015)
Grenade et terre crue
6 x 11 x 9 cm
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chemin-de-croix-IX-2020-chanvre-44-35-24cm-lydie-arickx
Lydie Arickx
Chemin de croix IX (2020)
Chanvre
44 x 35 x 24 cm
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Job-6-2009-Encre-et-mine-de-plomb-sur-papier-Ingres-42×29.7cm-Lydie-Arickx
Lydie Arickx
Job VI (2009)
Encre et mine de plomb sur papier Ingres
42 x 29 x 70 cm
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vanite-2019-fonte-et-borosilicate-h19x23x16cm-lydie-arickx
Lydie Arickx
Vanité (2019)
Fonte et borosilicate
19 x 23 x 16 cm
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sans-titre-5-2021-encre-sur-toile-200x345cm-johan-van-mullem
Johan Van Mullem
Sans titre 5 (2021)
Encre sur toile
200 x 345 cm
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Johan Van Mullem est peintre, dessinateur et sculpteur. Depuis son enfance, il dessine inlassablement des visages, thème central de son travail. Avec une sagacité instinctive, Johan Van Mullem capte l’essence d’une humanité enfouie, incarnée par des visages intemporels, à la limite de la représentation.
sans-titre-2-2018-encre-sur-toile-160x160cm-jvm
Johan Van Mullem
Sans titre 2 (2018)
Encre sur toile
160 x 160 cm
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Johan Van Mullem est peintre, dessinateur et sculpteur. Depuis son enfance, il dessine inlassablement des visages, thème central de son travail. Avec une sagacité instinctive, Johan Van Mullem capte l’essence d’une humanité enfouie, incarnée par des visages intemporels, à la limite de la représentation.
sans-titre-1-2017-encre-sur-toile-160x140cm-jvm
Johan Van Mullem
Sans titre 1 (2017)
Encre sur toile
160 x 140 cm
POUR PLUS D'INFOS >
Johan Van Mullem est peintre, dessinateur et sculpteur. Depuis son enfance, il dessine inlassablement des visages, thème central de son travail. Avec une sagacité instinctive, Johan Van Mullem capte l’essence d’une humanité enfouie, incarnée par des visages intemporels, à la limite de la représentation.
sans-titre-4-2021-encre-sur-toile-275x200cm-johan-van-mullem
Johan Van Mullem
Sans titre 4 (2021)
Encre sur toile
275 x 200 cm
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Johan Van Mullem est peintre, dessinateur et sculpteur. Depuis son enfance, il dessine inlassablement des visages, thème central de son travail. Avec une sagacité instinctive, Johan Van Mullem capte l’essence d’une humanité enfouie, incarnée par des visages intemporels, à la limite de la représentation.
embrasure-23-acrylique-sur-toile-73×100-2022-tana-borissova
Tana Borissova
Embrasure 23 (2022)
Acrylique sur toile
100 x 73 cm
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Tana Borissova est née en 1978 à Sofia. Depuis 1997 elle vit et travaille à Paris. Son premier saisissement artistique se produit dans l’enfance en regardant des livres d’art. Durant ses études au lycée d’Arts appliqués de Sofia, le contact avec la matière – la peinture à l’huile, l’aquarelle et le dessin – fait basculer sa fascination vers le désir de peindre.
À l’âge de 19 ans, elle arrive à Paris et passe le concours de l’École Nationale Supérieure des Beaux-Arts dont elle obtient le diplôme en 2003. Elle y a été élève de Vladimir Velickovic, puis de Dominique Gauthier. Suit une période de latence et de recherches au cours de laquelle la peinture à nouveau prend le dessus.
Le corps, ses espaces du dedans, ses interactions avec l’extérieur, avec la nature, avec l’autre, ses métamorphoses, ses mouvements, ses élans et ses contradictions cherchent l’expression dans sa peinture, au-delà de tout signe représentatif d’une époque.
En janvier 2014, Tana Borissova présente sa première exposition personnelle, Corps, à la galerie Myriam Bouagal à Paris. Se tiendra ensuite sa deuxième exposition personnelle, Ma place mon corps, de peintures et d’encres chromes, dans cette même galerie en juin 2015. En septembre 2017, elle expose à la Galerie L’Arrivage, à Troyes. À cette occasion, elle publie Corps Trait, un recueil de textes accompagnés d’encres. En mai 2019 Loo & Lou Gallery présente une sélection de ses encres et de ses peintures à la Foire internationale Just LX au Museu da Carris de Lisbonne. Sa nouvelle exposition, Éclats de nuit, en février 2020, montre ses œuvres récentes à l’Atelier de la galerie Loo & Lou.
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Andrew Ntshabele
The greater purpose 5 (2022)
Acrylique et laque sur documents vintage
89 x 70 cm
POUR PLUS D'INFOS >
There is a shaking in society 10, acrylique sur papier journal contemporain, 155x117 cm, 2021, Andrew Ntshabele
Andrew Ntshabele vit et travaille en Afrique du Sud à Johannesburg, en plein coeur d’une agitation urbaine qui nourrit son inspiration. Il considère les changements physiques, socio-économiques et politiques de la ville post-apartheid comme les résultats d’une urbanisation rapide. Ses interactions quotidiennes avec les habitants le poussent à enquêter sur cette difficile réalité sociale, et à chercher à comprendre la cause profonde de la dégradation actuelle du centre-ville.
here-is-a-shaking-in-society-10-acrylique-sur-papier-journal-vintage-156-x-123-cm-andrew-ntshabele
Andrew Ntshabele
There is a shaking in society 10 (2021)
Acrylique et laque sur papier journal contemporain et vintage
156 x 123 cm
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There is a shaking in society 10, acrylique sur papier journal contemporain, 155x117 cm, 2021, Andrew Ntshabele
Andrew Ntshabele vit et travaille en Afrique du Sud à Johannesburg, en plein coeur d’une agitation urbaine qui nourrit son inspiration. Il considère les changements physiques, socio-économiques et politiques de la ville post-apartheid comme les résultats d’une urbanisation rapide. Ses interactions quotidiennes avec les habitants le poussent à enquêter sur cette difficile réalité sociale, et à chercher à comprendre la cause profonde de la dégradation actuelle du centre-ville.
embrasure-5-acrylique-sur-toile-97×146-2021-tana-borissova
Tana Borissova
Embrasure 5 (2021)
Acrylique sur toile
146 x 97 cm
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Tana Borissova est née en 1978 à Sofia. Depuis 1997 elle vit et travaille à Paris. Son premier saisissement artistique se produit dans l’enfance en regardant des livres d’art. Durant ses études au lycée d’Arts appliqués de Sofia, le contact avec la matière – la peinture à l’huile, l’aquarelle et le dessin – fait basculer sa fascination vers le désir de peindre.
À l’âge de 19 ans, elle arrive à Paris et passe le concours de l’École Nationale Supérieure des Beaux-Arts dont elle obtient le diplôme en 2003. Elle y a été élève de Vladimir Velickovic, puis de Dominique Gauthier. Suit une période de latence et de recherches au cours de laquelle la peinture à nouveau prend le dessus.
Le corps, ses espaces du dedans, ses interactions avec l’extérieur, avec la nature, avec l’autre, ses métamorphoses, ses mouvements, ses élans et ses contradictions cherchent l’expression dans sa peinture, au-delà de tout signe représentatif d’une époque.
En janvier 2014, Tana Borissova présente sa première exposition personnelle, Corps, à la galerie Myriam Bouagal à Paris. Se tiendra ensuite sa deuxième exposition personnelle, Ma place mon corps, de peintures et d’encres chromes, dans cette même galerie en juin 2015. En septembre 2017, elle expose à la Galerie L’Arrivage, à Troyes. À cette occasion, elle publie Corps Trait, un recueil de textes accompagnés d’encres. En mai 2019 Loo & Lou Gallery présente une sélection de ses encres et de ses peintures à la Foire internationale Just LX au Museu da Carris de Lisbonne. Sa nouvelle exposition, Éclats de nuit, en février 2020, montre ses œuvres récentes à l’Atelier de la galerie Loo & Lou.
the-greater-purpose-2-acrylique-et-laque-sur-documents-vintage-90-x-70-cm-andrew-ntshabele
Andrew Ntshabele
The greater purpose 2 (2022)
Acrylique et laque sur documents vintage
90 x 70 cm
POUR PLUS D'INFOS >
There is a shaking in society 10, acrylique sur papier journal contemporain, 155x117 cm, 2021, Andrew Ntshabele
Andrew Ntshabele vit et travaille en Afrique du Sud à Johannesburg, en plein coeur d’une agitation urbaine qui nourrit son inspiration. Il considère les changements physiques, socio-économiques et politiques de la ville post-apartheid comme les résultats d’une urbanisation rapide. Ses interactions quotidiennes avec les habitants le poussent à enquêter sur cette difficile réalité sociale, et à chercher à comprendre la cause profonde de la dégradation actuelle du centre-ville.
aile-7-acrylique-sur-toile-50×61-2020-tana-borissova
Tana Borissova
Aile 7 (2020)
Acrylique sur toile
61 x 50 cm
POUR PLUS D'INFOS >
Tana Borissova est née en 1978 à Sofia. Depuis 1997 elle vit et travaille à Paris. Son premier saisissement artistique se produit dans l’enfance en regardant des livres d’art. Durant ses études au lycée d’Arts appliqués de Sofia, le contact avec la matière – la peinture à l’huile, l’aquarelle et le dessin – fait basculer sa fascination vers le désir de peindre.
À l’âge de 19 ans, elle arrive à Paris et passe le concours de l’École Nationale Supérieure des Beaux-Arts dont elle obtient le diplôme en 2003. Elle y a été élève de Vladimir Velickovic, puis de Dominique Gauthier. Suit une période de latence et de recherches au cours de laquelle la peinture à nouveau prend le dessus.
Le corps, ses espaces du dedans, ses interactions avec l’extérieur, avec la nature, avec l’autre, ses métamorphoses, ses mouvements, ses élans et ses contradictions cherchent l’expression dans sa peinture, au-delà de tout signe représentatif d’une époque.
En janvier 2014, Tana Borissova présente sa première exposition personnelle, Corps, à la galerie Myriam Bouagal à Paris. Se tiendra ensuite sa deuxième exposition personnelle, Ma place mon corps, de peintures et d’encres chromes, dans cette même galerie en juin 2015. En septembre 2017, elle expose à la Galerie L’Arrivage, à Troyes. À cette occasion, elle publie Corps Trait, un recueil de textes accompagnés d’encres. En mai 2019 Loo & Lou Gallery présente une sélection de ses encres et de ses peintures à la Foire internationale Just LX au Museu da Carris de Lisbonne. Sa nouvelle exposition, Éclats de nuit, en février 2020, montre ses œuvres récentes à l’Atelier de la galerie Loo & Lou.
encounters-10-acrylique-et-laque-sur-journaux-vintage-140-x-134-cm-andrew-ntshabele
Andrew Ntshabele
Encounters 10 (2021)
Acrylique et laque sur papier journal
140 x 134 cm
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There is a shaking in society 10, acrylique sur papier journal contemporain, 155x117 cm, 2021, Andrew Ntshabele
Andrew Ntshabele vit et travaille en Afrique du Sud à Johannesburg, en plein coeur d’une agitation urbaine qui nourrit son inspiration. Il considère les changements physiques, socio-économiques et politiques de la ville post-apartheid comme les résultats d’une urbanisation rapide. Ses interactions quotidiennes avec les habitants le poussent à enquêter sur cette difficile réalité sociale, et à chercher à comprendre la cause profonde de la dégradation actuelle du centre-ville.
Turmeric, 2010, Pastel sur papier, 57 x 76 cm
Tana Borissova
Embrasure 08 (2021)
Acrylique sur toile
162 x 114 cm
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Tana Borissova est née en 1978 à Sofia. Depuis 1997 elle vit et travaille à Paris. Son premier saisissement artistique se produit dans l’enfance en regardant des livres d’art. Durant ses études au lycée d’Arts appliqués de Sofia, le contact avec la matière – la peinture à l’huile, l’aquarelle et le dessin – fait basculer sa fascination vers le désir de peindre.
À l’âge de 19 ans, elle arrive à Paris et passe le concours de l’École Nationale Supérieure des Beaux-Arts dont elle obtient le diplôme en 2003. Elle y a été élève de Vladimir Velickovic, puis de Dominique Gauthier. Suit une période de latence et de recherches au cours de laquelle la peinture à nouveau prend le dessus.
Le corps, ses espaces du dedans, ses interactions avec l’extérieur, avec la nature, avec l’autre, ses métamorphoses, ses mouvements, ses élans et ses contradictions cherchent l’expression dans sa peinture, au-delà de tout signe représentatif d’une époque.
En janvier 2014, Tana Borissova présente sa première exposition personnelle, Corps, à la galerie Myriam Bouagal à Paris. Se tiendra ensuite sa deuxième exposition personnelle, Ma place mon corps, de peintures et d’encres chromes, dans cette même galerie en juin 2015. En septembre 2017, elle expose à la Galerie L’Arrivage, à Troyes. À cette occasion, elle publie Corps Trait, un recueil de textes accompagnés d’encres. En mai 2019 Loo & Lou Gallery présente une sélection de ses encres et de ses peintures à la Foire internationale Just LX au Museu da Carris de Lisbonne. Sa nouvelle exposition, Éclats de nuit, en février 2020, montre ses œuvres récentes à l’Atelier de la galerie Loo & Lou.
Turmeric, 2010, Pastel sur papier, 57 x 76 cm
Fred Kleinberg
Turmeric (2010)
Pastel sur papier
57 x 76 cm
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Fred Kleinberg est né en 1966 à Paris.
Il est formé à l’École Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris, et produit en parallèle avec plusieurs collectifs d’artiste un art urbain qui mêle la peinture à la performance dans l’espace public. Il expose son travail de peintre depuis 1983 internationalement : en Europe, aux Etats-Unis et en Asie. Son œuvre est présentée dans des collections privées, des galeries, et des institutions publiques. Artiste globe-trotter, il est sélectionné pour de multiples résidences d’artiste : la Villa Médicis à Rome en 1996 en collaboration avec la romancière Kits Hilaire, le Musée d’art contemporain de Moscou en 2001, Art Résidence of Pondichéry en 2004 en Inde, en Chine en 2010 en collaboration avec la Hong Merchant Gallery de Shanghai et en Inde en 2018 au sein de l’université de Shantiniketan. Il est lauréat de nombreux prix de peinture : le prix du Salon de Montrouge en 1998, le prix de la fondation Coprim en 2000, le prix de la fondation Taylor en 2008, le prix de la fondation Charles Oulmont en 2008 et le 1er prix d’art contemporain de Monaco en 2014.
Fred Kleinberg conçoit son œuvre comme une succession de projets thématiques et naturellement, intuitivement il se nourrit de voyages à travers le monde pour réaliser ses nouvelles séries.
Ses principales expositions retracent ces séries thématiques : « La mémoire au corps » à la Fondation Coprim à Paris en 1999 ; «D’obscénité et de fureur» au Passage de Retz à Paris en 2002 ; «Made in India» à Koehnline Museum of Art à Chicago, USA en 2006 ; «Baroque Flesh» à la galerie Polad-Hardouin à Paris en 2011 ; «Territoire d’héroïsme et de fureur», sa première exposition rétrospective, à la galerie Messine à Paris en 2012 ; « Reborn project » à la galerie Frank Pages à Genève, Suisse en 2015 ; « Odyssée » à la foire ART Elysées à Paris en tant qu’invité d’honneur en 2017.
Fred Kleinberg vit et travaille à Paris.
Dog, 2006, Pastel et huile sur papier, 210 x 230 cm
Fred Kleinberg
Dog (2006)
Pastel et huile sur papier
57 x 76 cm
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Fred Kleinberg est né en 1966 à Paris.
Il est formé à l’École Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris, et produit en parallèle avec plusieurs collectifs d’artiste un art urbain qui mêle la peinture à la performance dans l’espace public. Il expose son travail de peintre depuis 1983 internationalement : en Europe, aux Etats-Unis et en Asie. Son œuvre est présentée dans des collections privées, des galeries, et des institutions publiques. Artiste globe-trotter, il est sélectionné pour de multiples résidences d’artiste : la Villa Médicis à Rome en 1996 en collaboration avec la romancière Kits Hilaire, le Musée d’art contemporain de Moscou en 2001, Art Résidence of Pondichéry en 2004 en Inde, en Chine en 2010 en collaboration avec la Hong Merchant Gallery de Shanghai et en Inde en 2018 au sein de l’université de Shantiniketan. Il est lauréat de nombreux prix de peinture : le prix du Salon de Montrouge en 1998, le prix de la fondation Coprim en 2000, le prix de la fondation Taylor en 2008, le prix de la fondation Charles Oulmont en 2008 et le 1er prix d’art contemporain de Monaco en 2014.
Fred Kleinberg conçoit son œuvre comme une succession de projets thématiques et naturellement, intuitivement il se nourrit de voyages à travers le monde pour réaliser ses nouvelles séries.
Ses principales expositions retracent ces séries thématiques : « La mémoire au corps » à la Fondation Coprim à Paris en 1999 ; «D’obscénité et de fureur» au Passage de Retz à Paris en 2002 ; «Made in India» à Koehnline Museum of Art à Chicago, USA en 2006 ; «Baroque Flesh» à la galerie Polad-Hardouin à Paris en 2011 ; «Territoire d’héroïsme et de fureur», sa première exposition rétrospective, à la galerie Messine à Paris en 2012 ; « Reborn project » à la galerie Frank Pages à Genève, Suisse en 2015 ; « Odyssée » à la foire ART Elysées à Paris en tant qu’invité d’honneur en 2017.
Fred Kleinberg vit et travaille à Paris.
Relief, 2005, Techniques mixtes et collage, 210 x 230 cm
Fred Kleinberg
Relief (2005)
Techniques mixtes et collage
210 x 230 cm
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Fred Kleinberg est né en 1966 à Paris.
Il est formé à l’École Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris, et produit en parallèle avec plusieurs collectifs d’artiste un art urbain qui mêle la peinture à la performance dans l’espace public. Il expose son travail de peintre depuis 1983 internationalement : en Europe, aux Etats-Unis et en Asie. Son œuvre est présentée dans des collections privées, des galeries, et des institutions publiques. Artiste globe-trotter, il est sélectionné pour de multiples résidences d’artiste : la Villa Médicis à Rome en 1996 en collaboration avec la romancière Kits Hilaire, le Musée d’art contemporain de Moscou en 2001, Art Résidence of Pondichéry en 2004 en Inde, en Chine en 2010 en collaboration avec la Hong Merchant Gallery de Shanghai et en Inde en 2018 au sein de l’université de Shantiniketan. Il est lauréat de nombreux prix de peinture : le prix du Salon de Montrouge en 1998, le prix de la fondation Coprim en 2000, le prix de la fondation Taylor en 2008, le prix de la fondation Charles Oulmont en 2008 et le 1er prix d’art contemporain de Monaco en 2014.
Fred Kleinberg conçoit son œuvre comme une succession de projets thématiques et naturellement, intuitivement il se nourrit de voyages à travers le monde pour réaliser ses nouvelles séries.
Ses principales expositions retracent ces séries thématiques : « La mémoire au corps » à la Fondation Coprim à Paris en 1999 ; «D’obscénité et de fureur» au Passage de Retz à Paris en 2002 ; «Made in India» à Koehnline Museum of Art à Chicago, USA en 2006 ; «Baroque Flesh» à la galerie Polad-Hardouin à Paris en 2011 ; «Territoire d’héroïsme et de fureur», sa première exposition rétrospective, à la galerie Messine à Paris en 2012 ; « Reborn project » à la galerie Frank Pages à Genève, Suisse en 2015 ; « Odyssée » à la foire ART Elysées à Paris en tant qu’invité d’honneur en 2017.
Fred Kleinberg vit et travaille à Paris.
La fuite I, 2005, Huile sur toile et collage, 197x 130 cm
Fred Kleinberg
La fuite I (2005)
Huile et collage sur toile
130 x 197 cm
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Fred Kleinberg est né en 1966 à Paris.
Il est formé à l’École Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris, et produit en parallèle avec plusieurs collectifs d’artiste un art urbain qui mêle la peinture à la performance dans l’espace public. Il expose son travail de peintre depuis 1983 internationalement : en Europe, aux Etats-Unis et en Asie. Son œuvre est présentée dans des collections privées, des galeries, et des institutions publiques. Artiste globe-trotter, il est sélectionné pour de multiples résidences d’artiste : la Villa Médicis à Rome en 1996 en collaboration avec la romancière Kits Hilaire, le Musée d’art contemporain de Moscou en 2001, Art Résidence of Pondichéry en 2004 en Inde, en Chine en 2010 en collaboration avec la Hong Merchant Gallery de Shanghai et en Inde en 2018 au sein de l’université de Shantiniketan. Il est lauréat de nombreux prix de peinture : le prix du Salon de Montrouge en 1998, le prix de la fondation Coprim en 2000, le prix de la fondation Taylor en 2008, le prix de la fondation Charles Oulmont en 2008 et le 1er prix d’art contemporain de Monaco en 2014.
Fred Kleinberg conçoit son œuvre comme une succession de projets thématiques et naturellement, intuitivement il se nourrit de voyages à travers le monde pour réaliser ses nouvelles séries.
Ses principales expositions retracent ces séries thématiques : « La mémoire au corps » à la Fondation Coprim à Paris en 1999 ; «D’obscénité et de fureur» au Passage de Retz à Paris en 2002 ; «Made in India» à Koehnline Museum of Art à Chicago, USA en 2006 ; «Baroque Flesh» à la galerie Polad-Hardouin à Paris en 2011 ; «Territoire d’héroïsme et de fureur», sa première exposition rétrospective, à la galerie Messine à Paris en 2012 ; « Reborn project » à la galerie Frank Pages à Genève, Suisse en 2015 ; « Odyssée » à la foire ART Elysées à Paris en tant qu’invité d’honneur en 2017.
Fred Kleinberg vit et travaille à Paris.
Benoit-Luyckx-strong-human-wasp-2020
Benoit-Luyckx-strong-human-wasp-2020
Benoit-Luyckx-strong-human-wasp-2020
Benoît Luyckx
Strong Human Wasp (2020)
Pierre bleue belge
59 x 43 x 14 cm
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Joel-Person-La-Deferlante-Interieure-2020-2021
Joël Person
Cheval Dragon 4 (2013)
Pierre noire sur papier
62 x 34 cm
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Joel-Person-La-Deferlante-Interieure-2020-2021
Joël Person
La Déferlante Intérieure (2020-21)
Fusain sur papier
244 x 95 cm
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Axelle Viannay
« Joël Person est né en 1962 à Abidjan, en Côte d’Ivoire. Peintre et dessinateur, il allie dans ses compositions la pureté quasi classique du trait et une intensité rare de l’expression. Il compte de nombreuses expositions personnelles et collectives en France et en Chine. Il vit à Paris. Diplomé des Beaux-Arts de Paris. Il se consacre d’abord au portrait avant de privilégier les thèmes du cheval et les poses érotiques. Joël Person connaît les pièges de la virtuosité. Il cherche l’instant où l’influx nerveux, le jaillissement du vivant vont subvertir le cadre soigné de la figuration. Saturé d’énergie, le corps du cheval lui donne, depuis vingt ans, cette expérience du débordement et de la submersion. Mais Person est aussi un dessinateur de la figure humaine. Pour déjouer sa propre technique figurative, il guette le point de rupture dans le rituel statique de la pose. Cet instant où le modèle se cabre et fuit dans un ailleurs, il le capte partout et nulle part : une contraction du front, une torsion de l’épaule, une inclinaison du visage. Person maintient l’illusion réaliste de la peinture. La vie intense de ses portraits ne naît pas d’un style expressionniste, mais, dans une tension anxieuse, elle surgit de la confrontation de l’artiste à ce « soi » de l’autre, cette soudaine prise de liberté, cette solitude a l’état brut, qui tout à coup, très brièvement, surgit entre la surface du corps et la tension du système nerveux. »
— Philippe Garnier, Les Cahiers Dessinés #9
Joel-Person-frederi- 2021
Joël Person
Frédérique (1984-2015)
Fusain sur papier collé
135 x 131 cm
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Axelle Viannay
« Joël Person est né en 1962 à Abidjan, en Côte d’Ivoire. Peintre et dessinateur, il allie dans ses compositions la pureté quasi classique du trait et une intensité rare de l’expression. Il compte de nombreuses expositions personnelles et collectives en France et en Chine. Il vit à Paris. Diplomé des Beaux-Arts de Paris. Il se consacre d’abord au portrait avant de privilégier les thèmes du cheval et les poses érotiques. Joël Person connaît les pièges de la virtuosité. Il cherche l’instant où l’influx nerveux, le jaillissement du vivant vont subvertir le cadre soigné de la figuration. Saturé d’énergie, le corps du cheval lui donne, depuis vingt ans, cette expérience du débordement et de la submersion. Mais Person est aussi un dessinateur de la figure humaine. Pour déjouer sa propre technique figurative, il guette le point de rupture dans le rituel statique de la pose. Cet instant où le modèle se cabre et fuit dans un ailleurs, il le capte partout et nulle part : une contraction du front, une torsion de l’épaule, une inclinaison du visage. Person maintient l’illusion réaliste de la peinture. La vie intense de ses portraits ne naît pas d’un style expressionniste, mais, dans une tension anxieuse, elle surgit de la confrontation de l’artiste à ce « soi » de l’autre, cette soudaine prise de liberté, cette solitude a l’état brut, qui tout à coup, très brièvement, surgit entre la surface du corps et la tension du système nerveux. »
— Philippe Garnier, Les Cahiers Dessinés #9
Publié le 7 avril 2023
Du 31 mars au 23 juillet, les Musées royaux des Beaux-Arts de Belgique (MrBAB) présentent For Love’s S(n)ake!, une exposition de l’artiste belge Johan Van Mullem.
En invitant Johan Van Mullem au cœur de leur collection d’Art Ancien, les Musées royaux des Beaux-Arts de Belgique, passeurs de mémoires ouverts à un public le plus large possible, incarnent activement leur soutien à la création contemporaine émergeant à Bruxelles.
D’origine brugeoise et bruxellois d’adoption, Johan Van Mullem, véritable porte-étendard de la Belgique, est un artiste pluriel reconnu. Seul artiste contemporain belge à être exposé en 2023 aux MRBAB, il rencontre, par le biais de cette exposition, son pays.
Il y interroge à sa façon notre société en mutation et s’inscrit dans le cadre du cycle d’exposition Remedies. Face aux maux et symptômes de notre humanité, l’art de Johan Van Mullem se veut thérapeutique et semble nous proposer de possibles remèdes en nous incitant à ralentir, réfléchir et méditer.
For Love’s S(n)ake ! dévoile des œuvres inédites et le tout dernier travail de l’artiste bruxellois. Le corpus exposé tranche avec ce que le public connaît du travail de l’artiste à savoir de grands visages floutés jusqu’à l’abstraction et un monde tout en intériorité, tourmenté, puissant et mystérieux, présenté notamment lors de son exposition monographique au Musée d’Ixelles en 2016-2017. Une transition s’est opérée ces dernières années et des portraits, l’artiste est passé à la nature. La crise sanitaire et les confinements successifs ont eu un effet catalyseur sur sa pratique. Forcé de ralentir, l’artiste redécouvre notamment son jardin (intérieur), un nouvel horizon qui lui inspire des univers davantage tournés vers l’extérieur. L’apparition du végétal déclenche un sentiment de liberté et de sérénité. Les paysages fantasmés témoignent aussi de l’éclosion de sa palette de couleurs. Soutenu par l’utilisation d’encres de gravure et d’imprimerie, le résultat confère à son œuvre une luminescence toute particulière.
Entre émotions et mémoire, entre mouvement et lumière, une cinquantaine d’œuvres inédites, dessins, peintures et sculptures, au format parfois impressionnant, ouvrent un espace-temps loin de toute urgence et proposent au public un nouveau regard, inscrivant la création contemporaine dans ses racines historiques.
© Constance Le Hardy
Musées royaux des Beaux-Arts de Belgique
3 rue de la Régence – 1000 Bruxelles
Tél.: +32 (0)2 508 32 11
Fax: +32 (0)2 508 32 32
info@fine-arts-museum.be
Publié le 6 avril 2023
Joël Person participe à la premier édition du festival de dessin de Arles, parmi 41 autres artistes, initié par Vera Michalski et Frédéric Pajak.
L’ambition du projet
Le dessin est le premier art de l’enfance ; il est aussi le premier art connu de nos ancêtres préhistoriques. Longtemps déconsidéré au profit de la peinture, il revient en force depuis quelques années dans l’apprentissage des beaux-arts, dans les galeries et les musées.
Vera Michalski, présidente du groupe éditorial Libella, et Frédéric Pajak, dessinateur, écrivain et directeur des éditions Les Cahiers dessinés, ont pris l’initiative d’offrir à cet art une pleine dimension en lui dédiant un festival annuel, à la fois populaire et exigeant, intitulé « Le Festival du Dessin ».
Quel meilleur endroit pour accueillir pareil événement que la ville d’Arles, célèbre pour la beauté de ses monuments historiques, Van Gogh et les Rencontres de la Photographie ? Dès l’année 2023, à chaque printemps, Arles ouvrira au Festival du Dessin ses plus belles portes — musées, églises, cloîtres, hôtels particuliers, fondations et centres culturels. Théâtres, librairies et cinémas seront également partie prenante, ainsi que les organismes scolaires, pour mettre en lumière plus de mille œuvres et une quarantaine d’artistes, la plupart consacrés, d’autres oubliés, d’autres encore méconnus. Se confronteront ainsi, au fil des éditions, le dessin d’art, le dessin d’humour, le dessin de presse, le dessin d’art brut et les dessins parallèles, à savoir ceux d’écrivains, de cinéastes ou encore de grandes figures de la mode.
Étendu sur trois semaines et quatre week-ends, le Festival du Dessin se propose d’organiser, en accompagnement des expositions, des débats, des rencontres et des signatures avec les dessinateurs d’aujourd’hui, des projections de films, des concerts et bien d’autres événements festifs.
Joël Person exposera à l’enclos Saint-Césaire ainsi qu’à l’espace Van Gogh aux côtés de Hervé Di Rosa et Anna Sommer notamment.
Il participera également au concert dessiné de l’orchestre national de Cannes le 3 mai au Théâtre Antique d’Arles. Il réalisera une performance de dessins sur le vif, projetés en direct sur écran géant, en collaboration avec Anna Sommer.
Publié le 16 novembre 2022
L’artiste photographe Jean Claude Wouters présente « Light of Void » au Alien Art Centre à Taiwan, aux côtés de l’artiste Arman du 23 novembre 2022 au 9 mars 2023.
Le titre de son exposition, « Light of Void », comprend à dessein le mot « lumière ». C’est actuellement cette lumière spéciale dont parlent les œuvres de Wouters. « Je dessine avec la lumière, je ne fais pas une copie de la réalité », dit-il. En japonais, la photographie se traduit par shashin, deux idéogrammes signifiant copie et réalité. Dans la plupart des cas, la photographie est utilisée comme « une copie de la réalité », plutôt que comme « dessin avec la lumière ». Je préfère penser à la photographie des débuts, au XIXe siècle, avec son sentiment particulier de peinture ». Toutes les techniques utilisées par Wouters sont des techniques photographiques très traditionnelles et il est un fait que la plupart d’entre elles disparaissent rapidement, poussées par la nouvelle technologie numérique de la photographie. Dans quelques années, Wouters ne sera peut-être plus en mesure de créer les œuvres qu’il réalise aujourd’hui et que nous pouvons voir dans cette exposition, tandis que le papier baryté spécial qu’il utilise est déjà devenu difficile à trouver. Nous ne verrons nulle part ailleurs une nuance de gris aussi raffinée que dans les œuvres de l’artiste, qui ne sont jamais en noir et blanc mais d’un simple gris unique.
Exposition
Du 23 novembre 2022 au 9 mars 2023
ALIEN Art Center
No.111, Gushan 1st Rd., Gushan Dist.,
Kaohsiung City 804, Taiwan
Publié le 16 juin 2022
Elisabeth Daynès participe au colloque « Images de l’homme fossile » organisé par le Collège de France vendredi 17 juin 2022. Son intervention porte sur « La Recherche des Identités Perdues ». En tant qu’artiste, Elisabeth Daynès mène une réflexion sur l’identité, la signification du crâne et du visage depuis les origines, à nos jours et jusque dans le futur. Son art joue aussi sans cesse avec la science, qui fabrique une grande partie de notre imaginaire.
Le colloque porte sur les multiples images de l’homme fossile :
« Dès leurs débuts, les recherches sur l’évolution humaine et la préhistoire ont rempli une double fonction. D’une part, elles se sont développées comme de nouvelles disciplines scientifiques, aux confins de la biologie et des sciences humaines. D’autre part, elles ont fourni, en Occident au moins, la substance d’un nouveau récit des origines qui pouvait se substituer à celui que la Bible avait livré pendant des siècles.
Cette dimension mythologique et narrative explique sans doute en partie la fascination qu’a toujours exercé ce champ de la connaissance sur le public. Très vite, la littérature et les arts plastiques se sont emparés de la thématique « préhistorique », alors même que les connaissances scientifiques restaient encore embryonnaires. Une préhistoire fantasmée a ainsi toujours côtoyé celle que les archéologues et les paléontologues tentaient de reconstituer. La frontière entre les deux est restée poreuse et, dans leurs tentatives pour combler les lacunes de la documentation fossile, les chercheurs eux-mêmes n’ont jamais été exempts de subjectivité.
Ce récit des origines nous touche sans doute de trop près pour échapper aux présupposés religieux, philosophiques et parfois même politiques. Chaque période historique a produit sa préhistoire et son évolution humaine, en accord avec l’esprit du temps.
Au cours de ce colloque, des paléoanthropologues mais aussi des historiens des sciences s’attacheront à discuter les représentations des hommes fossiles et des sociétés paléolithiques telles qu’elles sont produites par les travaux scientifiques, puis livrées au public. »
Colloque
Vendredi 17 juin 2022
toute la journée – colloque gratuit, en accès libre, sans inscription préalable
Collège de France
11 place Marcelin-Berthelot
75005 Paris
Publié le 07 juin 2022
Avec Rosa Bonheur et Joël Person tout est une histoire de chevaux lancés au galop sur des formats monumentaux. D’abord ceux de Rosa : Son « Marché au chevaux » tour de force de la peintre pour démontrer au monde entier que « le génie n’a pas de sexe » ; puis ceux de Joël : sa « Déferlante » de chevaux qui exercent sur le spectateur et le peintre une fascination pour ces êtres gracieux et puissants. Un demi siècle les sépare, mais indéniablement, Joël est un enfant de Rosa.
Alors pour le bicentenaire de la naissance de Rosa, Joël rend hommage à Rosa en poursuivant sa « Déferlante », fresque de 10 m de long. Pendant 3 jours, il pose ses pinceaux et ses brosses dans l’atelier de plein air de Rosa Bonheur : son parc ! Et se lance le défis d’ajouter 5 mètres à sa toile monumentale ! Il sera accompagné tout au long de son parcours par des musiciens. Reliant ainsi les 2 passions de Rosa Bonheur et de Joël Person : la musique et la peinture.
Cette performance fait écho à l’exposition « Déferlante » de Joël Person qui s’est tenue à la Loo & Lou Gallery de mai à juillet 2021.
Performance dessinée
Vendredi 15, samedi 16, dimanche 17 juillet
toute la journée – gratuit
Château de Rosa Bonheur
12 rue Rosa Bonheur
77810 Thomery
Benoit-Luyckx-strong-human-wasp-2020
Benoit-Luyckx-strong-human-wasp-2020
Benoit-Luyckx-strong-human-wasp-2020
Benoît Luyckx
Strong Human Wasp (2020)
Pierre bleue belge
59 x 43 x 14 cm
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Stefano Baroni
Benoît Luyckx est un artiste contemporain français né en 1955. Diplômé de l’École Boulle en 1976, il continue ensuite ses études aux Beaux-arts de Paris, avant de se consacrer pleinement à la sculpture, allant dès lors de carrières en carrières. Il y découvre ainsi le fameux marbre de Carrare en Italie, ou encore celui de Belgique.
Benoît Luyckx transpose ses pensées dans le minéral (les pierres et les marbres) qu’il sculpte en taille directe sans assistant et sans aide numérique. S’inspirant de grands thèmes universels tels l’infini, la modernité, la nature ou le corps, il va au-delà de la matérialité, évoluant en permanence entre le figuratif et l’abstraction. L’artiste porte un grand intérêt au mouvement et particulièrement à la dynamique de ses sculptures qui malgré leur matériau, imprime une impression de légèreté chez celui qui les contemple. Il exprime le regard qu’il porte sur la nature dans une dualité rendue par le contraste des matières brutes, striées, polies… Ses voyages aux Etats-Unis dans les années 1980 l’ont beaucoup inspirés dans son interprétation de la modernité. Suivant les époques de son parcours, ses œuvres sont modernistes, architecturales, spiralées, végétales ou organiques…
Il a œuvré entre autres pour Hermès, le siège social de Chanel à Neuilly-sur-Seine, le Palais de Justice d’Evreux, l’Ambassade de France à Phnom Penh (Cambodge), Moët & Chandon, HSBC, Vinci, Eiffage, en collaboration avec les architectes Paul Chemetov, Adrien Fainsilber, Jean-Pierre Lott, Pierre-Yves Rochon, Philippe Starck, Juan Trindade et l’agence Pinto.
Benoît Luyckx expose dans différentes galeries en Europe et a exposé à plusieurs reprises aux Etats-Unis. Son œuvre est présentée dans d’importantes collections particulières et Fondations.
Benoit-Luyckx-white-way-2020
Benoit-Luyckx-white-way-2020
Benoît Luyckx
White Way (2020)
Pierre bleue belge
32 x 30 x 13,5 cm
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Stefano Baroni
Benoît Luyckx est un artiste contemporain français né en 1955. Diplômé de l’École Boulle en 1976, il continue ensuite ses études aux Beaux-arts de Paris, avant de se consacrer pleinement à la sculpture, allant dès lors de carrières en carrières. Il y découvre ainsi le fameux marbre de Carrare en Italie, ou encore celui de Belgique.
Benoît Luyckx transpose ses pensées dans le minéral (les pierres et les marbres) qu’il sculpte en taille directe sans assistant et sans aide numérique. S’inspirant de grands thèmes universels tels l’infini, la modernité, la nature ou le corps, il va au-delà de la matérialité, évoluant en permanence entre le figuratif et l’abstraction. L’artiste porte un grand intérêt au mouvement et particulièrement à la dynamique de ses sculptures qui malgré leur matériau, imprime une impression de légèreté chez celui qui les contemple. Il exprime le regard qu’il porte sur la nature dans une dualité rendue par le contraste des matières brutes, striées, polies… Ses voyages aux Etats-Unis dans les années 1980 l’ont beaucoup inspirés dans son interprétation de la modernité. Suivant les époques de son parcours, ses œuvres sont modernistes, architecturales, spiralées, végétales ou organiques…
Il a œuvré entre autres pour Hermès, le siège social de Chanel à Neuilly-sur-Seine, le Palais de Justice d’Evreux, l’Ambassade de France à Phnom Penh (Cambodge), Moët & Chandon, HSBC, Vinci, Eiffage, en collaboration avec les architectes Paul Chemetov, Adrien Fainsilber, Jean-Pierre Lott, Pierre-Yves Rochon, Philippe Starck, Juan Trindade et l’agence Pinto.
Benoît Luyckx expose dans différentes galeries en Europe et a exposé à plusieurs reprises aux Etats-Unis. Son œuvre est présentée dans d’importantes collections particulières et Fondations.
Benoit-Luyckx-etre-en-nature-2020
Benoit-Luyckx-etre-en-nature-2020
Benoît Luyckx
Être en Nature (2018-2020)
Marbre blanc grec
53 x 41 x 18,5 cm
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Stefano Baroni
Benoît Luyckx est un artiste contemporain français né en 1955. Diplômé de l’École Boulle en 1976, il continue ensuite ses études aux Beaux-arts de Paris, avant de se consacrer pleinement à la sculpture, allant dès lors de carrières en carrières. Il y découvre ainsi le fameux marbre de Carrare en Italie, ou encore celui de Belgique.
Benoît Luyckx transpose ses pensées dans le minéral (les pierres et les marbres) qu’il sculpte en taille directe sans assistant et sans aide numérique. S’inspirant de grands thèmes universels tels l’infini, la modernité, la nature ou le corps, il va au-delà de la matérialité, évoluant en permanence entre le figuratif et l’abstraction. L’artiste porte un grand intérêt au mouvement et particulièrement à la dynamique de ses sculptures qui malgré leur matériau, imprime une impression de légèreté chez celui qui les contemple. Il exprime le regard qu’il porte sur la nature dans une dualité rendue par le contraste des matières brutes, striées, polies… Ses voyages aux Etats-Unis dans les années 1980 l’ont beaucoup inspirés dans son interprétation de la modernité. Suivant les époques de son parcours, ses œuvres sont modernistes, architecturales, spiralées, végétales ou organiques…
Il a œuvré entre autres pour Hermès, le siège social de Chanel à Neuilly-sur-Seine, le Palais de Justice d’Evreux, l’Ambassade de France à Phnom Penh (Cambodge), Moët & Chandon, HSBC, Vinci, Eiffage, en collaboration avec les architectes Paul Chemetov, Adrien Fainsilber, Jean-Pierre Lott, Pierre-Yves Rochon, Philippe Starck, Juan Trindade et l’agence Pinto.
Benoît Luyckx expose dans différentes galeries en Europe et a exposé à plusieurs reprises aux Etats-Unis. Son œuvre est présentée dans d’importantes collections particulières et Fondations.
Benoit-Luyckx-slice-fruit-2020
Benoit-Luyckx-slice-fruit-2020
Benoit-Luyckx-slice-fruit-2020
Benoît Luyckx
Slice Fruit (2020)
Pierre bleue belge
43 x 25 x 16,5 cm
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Stefano Baroni
Benoît Luyckx est un artiste contemporain français né en 1955. Diplômé de l’École Boulle en 1976, il continue ensuite ses études aux Beaux-arts de Paris, avant de se consacrer pleinement à la sculpture, allant dès lors de carrières en carrières. Il y découvre ainsi le fameux marbre de Carrare en Italie, ou encore celui de Belgique.
Benoît Luyckx transpose ses pensées dans le minéral (les pierres et les marbres) qu’il sculpte en taille directe sans assistant et sans aide numérique. S’inspirant de grands thèmes universels tels l’infini, la modernité, la nature ou le corps, il va au-delà de la matérialité, évoluant en permanence entre le figuratif et l’abstraction. L’artiste porte un grand intérêt au mouvement et particulièrement à la dynamique de ses sculptures qui malgré leur matériau, imprime une impression de légèreté chez celui qui les contemple. Il exprime le regard qu’il porte sur la nature dans une dualité rendue par le contraste des matières brutes, striées, polies… Ses voyages aux Etats-Unis dans les années 1980 l’ont beaucoup inspirés dans son interprétation de la modernité. Suivant les époques de son parcours, ses œuvres sont modernistes, architecturales, spiralées, végétales ou organiques…
Il a œuvré entre autres pour Hermès, le siège social de Chanel à Neuilly-sur-Seine, le Palais de Justice d’Evreux, l’Ambassade de France à Phnom Penh (Cambodge), Moët & Chandon, HSBC, Vinci, Eiffage, en collaboration avec les architectes Paul Chemetov, Adrien Fainsilber, Jean-Pierre Lott, Pierre-Yves Rochon, Philippe Starck, Juan Trindade et l’agence Pinto.
Benoît Luyckx expose dans différentes galeries en Europe et a exposé à plusieurs reprises aux Etats-Unis. Son œuvre est présentée dans d’importantes collections particulières et Fondations.
Louise-Frydman-composition-2021-diptyque-2021
Louise Frydman
Composition (2021)
Diptyque, Céramique
L 95 x I 61 cm (chacune)
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Louise Frydman est une artiste française née en 1989 à Paris. Elle est diplômée de l’école d’art L’ESAG-Penninghen en 2012 et étudie la photographie à l’International Center of Photography de New-York.
Son atelier est installé en Bourgogne depuis 2015. Louise commence par composer des oeuvres en papier blanc légères et délicates puis se tourne vers la céramique en 2015 lorsqu’elle crée sa pièce monumentale La Fée des Pétales suspendue dans la cour de l’Hôtel de Croisilles, à Paris.
Elle concervera dans son traitement de la céramique la matité blanche du papier ainsi que la finesse de la matière. Ses sculptures, miroirs, ou installations mobiles, inspirés des formes de la nature, jouent avec la lumière et le mouvement. Sa rencontre avec le céramiste Jean-François Reboul en 2015 lui permet d’approfondir son apprentissage et de s’affirmer dans sa démarche artistique. Elle expose son travail en 2017 et 2019 à la biennale Révélations au Grand Palais, à Paris.
Louise collabore aujourd’hui avec des maisons de luxe telles que Hermès, Bonpoint ou Yiqing Yin haute couture, elle travaille avec le promoteur Vinci Immobilier et vend ses sculptures à des décorateurs tels que Minassian Chahan. En juin 2019, Louise Frydman se voit remettre le Prix « 1 immeuble, 1 oeuvre» par le Ministre de la Culture Franck Riester, pour sa collaboration avec Vinci Immobilier. Son travail a également été séléctionné au Concours International ICAA Blanc de Chine dont l’exposition a eu lieu à Beijin en août 2019.
La galerie Loo & Lou a exposé ses oeuvres au salon JustLX à Lisbonne en mai 2019 et Louise prépare sa première exposition personnelle à la galerie pour le mois de février. Ses sculptures sont en ce moment présentées au showroom du designer Philippe Hurel à Paris dans le premier arrondissement.
Louise-frydman-corolle-ii-2020-ceramique
Louise Frydman
Corolle II (2020)
Sculpture murale, Céramique
L 54 x I 53 x H 12 cm
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Louise Frydman est une artiste française née en 1989 à Paris. Elle est diplômée de l’école d’art L’ESAG-Penninghen en 2012 et étudie la photographie à l’International Center of Photography de New-York.
Son atelier est installé en Bourgogne depuis 2015. Louise commence par composer des oeuvres en papier blanc légères et délicates puis se tourne vers la céramique en 2015 lorsqu’elle crée sa pièce monumentale La Fée des Pétales suspendue dans la cour de l’Hôtel de Croisilles, à Paris.
Elle concervera dans son traitement de la céramique la matité blanche du papier ainsi que la finesse de la matière. Ses sculptures, miroirs, ou installations mobiles, inspirés des formes de la nature, jouent avec la lumière et le mouvement. Sa rencontre avec le céramiste Jean-François Reboul en 2015 lui permet d’approfondir son apprentissage et de s’affirmer dans sa démarche artistique. Elle expose son travail en 2017 et 2019 à la biennale Révélations au Grand Palais, à Paris.
Louise collabore aujourd’hui avec des maisons de luxe telles que Hermès, Bonpoint ou Yiqing Yin haute couture, elle travaille avec le promoteur Vinci Immobilier et vend ses sculptures à des décorateurs tels que Minassian Chahan. En juin 2019, Louise Frydman se voit remettre le Prix « 1 immeuble, 1 oeuvre» par le Ministre de la Culture Franck Riester, pour sa collaboration avec Vinci Immobilier. Son travail a également été séléctionné au Concours International ICAA Blanc de Chine dont l’exposition a eu lieu à Beijin en août 2019.
La galerie Loo & Lou a exposé ses oeuvres au salon JustLX à Lisbonne en mai 2019 et Louise prépare sa première exposition personnelle à la galerie pour le mois de février. Ses sculptures sont en ce moment présentées au showroom du designer Philippe Hurel à Paris dans le premier arrondissement.
Louise-frydman-L’Envole-Les-Chemins-des-Délices-2013
Louise Frydman
Efflorescence II (2020)
Sculpture murale, Faïence émaillée
D 60 cm
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Louise Frydman est une artiste française née en 1989 à Paris. Elle est diplômée de l’école d’art L’ESAG-Penninghen en 2012 et étudie la photographie à l’International Center of Photography de New-York.
Son atelier est installé en Bourgogne depuis 2015. Louise commence par composer des oeuvres en papier blanc légères et délicates puis se tourne vers la céramique en 2015 lorsqu’elle crée sa pièce monumentale La Fée des Pétales suspendue dans la cour de l’Hôtel de Croisilles, à Paris.
Elle concervera dans son traitement de la céramique la matité blanche du papier ainsi que la finesse de la matière. Ses sculptures, miroirs, ou installations mobiles, inspirés des formes de la nature, jouent avec la lumière et le mouvement. Sa rencontre avec le céramiste Jean-François Reboul en 2015 lui permet d’approfondir son apprentissage et de s’affirmer dans sa démarche artistique. Elle expose son travail en 2017 et 2019 à la biennale Révélations au Grand Palais, à Paris.
Louise collabore aujourd’hui avec des maisons de luxe telles que Hermès, Bonpoint ou Yiqing Yin haute couture, elle travaille avec le promoteur Vinci Immobilier et vend ses sculptures à des décorateurs tels que Minassian Chahan. En juin 2019, Louise Frydman se voit remettre le Prix « 1 immeuble, 1 oeuvre» par le Ministre de la Culture Franck Riester, pour sa collaboration avec Vinci Immobilier. Son travail a également été séléctionné au Concours International ICAA Blanc de Chine dont l’exposition a eu lieu à Beijin en août 2019.
La galerie Loo & Lou a exposé ses oeuvres au salon JustLX à Lisbonne en mai 2019 et Louise prépare sa première exposition personnelle à la galerie pour le mois de février. Ses sculptures sont en ce moment présentées au showroom du designer Philippe Hurel à Paris dans le premier arrondissement.
Wilkening-Catherine-L’Envole-Les-Chemins-des-Délices-2013
Wilkening-Catherine-L’Envole-Les-Chemins-des-Délices-2013
Catherine Wilkening
L'Envol, 2013
Terre Noire Chamottée
97 x 20 x 15 cm
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« Comédienne depuis l’adolescence, un jour, en 2002, la nécessité de mettre les mains dans la matière s’impose à moi, la terre me devient aussitôt vitale. Je me lance dans la sculpture avec un instinct primaire, animal, guidée par une impulsion profonde irrépréhensible. L’exploration est souterraine et organique, mon travail est physique, sensuel, jouissif. L’intellect ne rentre pas en jeu, pas de plan conceptuel, ce qui passe par la tête n’est déjà plus, juste le lâcher prise et faire corps avec la matière vivante. C’est un saut dans le vide.
Mon travail se nourrit depuis toujours de la figure féminine, avec pour thème obsessionnel : la naissance, le chaos, la mort, la renaissance – l’impermanence – ou bien encore la dévoration, le cannibalisme, sujet que j’aborde en 2019 à travers mes sculptures de porcelaine pour Art Paris au Grand Palais avec la galerie Loo & Lou. Aujourd’hui, traversant ces longues périodes de confinement, dans un climat extérieur anxiogène, j‘éprouve la nécessité de me connecter au lumineux, au spirituel, à l’élévation, au transcendantal, de travailler sur la répétition, le multiple, le fourmillement, l’infini, l’infiniment monumental dans l’infiniment minuscule, comme des mantras qui apaisent et endorment les agitations cérébrales, comme de larges respirations – de construire à partir du chaos, à partir de fragments de sculptures avortées ou à l’abandon, et leur donner un nouveau souffle de vie… De ces longs mois de gestation sont nées d’immenses madones immaculées de porcelaine, parées d’or, de verre de Murano, couronnées de roses, d’épines, de racines… »
– Catherine Wilkening
catherine-wilkening-envole-moi-les-chemins-des-delices-2020-21-1
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Catherine Wilkening
Envole-Moi, 2019
Porcelaine émaillée
130 x 90 cm
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« Comédienne depuis l’adolescence, un jour, en 2002, la nécessité de mettre les mains dans la matière s’impose à moi, la terre me devient aussitôt vitale. Je me lance dans la sculpture avec un instinct primaire, animal, guidée par une impulsion profonde irrépréhensible. L’exploration est souterraine et organique, mon travail est physique, sensuel, jouissif. L’intellect ne rentre pas en jeu, pas de plan conceptuel, ce qui passe par la tête n’est déjà plus, juste le lâcher prise et faire corps avec la matière vivante. C’est un saut dans le vide.
Mon travail se nourrit depuis toujours de la figure féminine, avec pour thème obsessionnel : la naissance, le chaos, la mort, la renaissance – l’impermanence – ou bien encore la dévoration, le cannibalisme, sujet que j’aborde en 2019 à travers mes sculptures de porcelaine pour Art Paris au Grand Palais avec la galerie Loo & Lou. Aujourd’hui, traversant ces longues périodes de confinement, dans un climat extérieur anxiogène, j‘éprouve la nécessité de me connecter au lumineux, au spirituel, à l’élévation, au transcendantal, de travailler sur la répétition, le multiple, le fourmillement, l’infini, l’infiniment monumental dans l’infiniment minuscule, comme des mantras qui apaisent et endorment les agitations cérébrales, comme de larges respirations – de construire à partir du chaos, à partir de fragments de sculptures avortées ou à l’abandon, et leur donner un nouveau souffle de vie… De ces longs mois de gestation sont nées d’immenses madones immaculées de porcelaine, parées d’or, de verre de Murano, couronnées de roses, d’épines, de racines… »
– Catherine Wilkening
Catherine-Wilkening-Vertiges-2020-Les-Chemins-Des-Delices-2021
Catherine-Wilkening-Vertiges-2020-Les-Chemins-Des-Delices-2021
Catherine-Wilkening-Vertiges-2020-Les-Chemins-Des-Delices-2021
Catherine Wilkening
Vertiges
Porcelaine, verre de Murano
98 x 55 x 52 cm
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« Comédienne depuis l’adolescence, un jour, en 2002, la nécessité de mettre les mains dans la matière s’impose à moi, la terre me devient aussitôt vitale. Je me lance dans la sculpture avec un instinct primaire, animal, guidée par une impulsion profonde irrépréhensible. L’exploration est souterraine et organique, mon travail est physique, sensuel, jouissif. L’intellect ne rentre pas en jeu, pas de plan conceptuel, ce qui passe par la tête n’est déjà plus, juste le lâcher prise et faire corps avec la matière vivante. C’est un saut dans le vide.
Mon travail se nourrit depuis toujours de la figure féminine, avec pour thème obsessionnel : la naissance, le chaos, la mort, la renaissance – l’impermanence – ou bien encore la dévoration, le cannibalisme, sujet que j’aborde en 2019 à travers mes sculptures de porcelaine pour Art Paris au Grand Palais avec la galerie Loo & Lou. Aujourd’hui, traversant ces longues périodes de confinement, dans un climat extérieur anxiogène, j‘éprouve la nécessité de me connecter au lumineux, au spirituel, à l’élévation, au transcendantal, de travailler sur la répétition, le multiple, le fourmillement, l’infini, l’infiniment monumental dans l’infiniment minuscule, comme des mantras qui apaisent et endorment les agitations cérébrales, comme de larges respirations – de construire à partir du chaos, à partir de fragments de sculptures avortées ou à l’abandon, et leur donner un nouveau souffle de vie… De ces longs mois de gestation sont nées d’immenses madones immaculées de porcelaine, parées d’or, de verre de Murano, couronnées de roses, d’épines, de racines… »
– Catherine Wilkening
Mark Powell
Open with care (2022)
Dessin au stylo à bille sur une enveloppe de 1904
33 x 44,5 cm
900 euros
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Image: Mark Powell
Avec l’humble stylo à bille comme outil de prédilection, Powell, installé à Londres, crée des portraits complexes sur des documents anciens. Ses sujets préférés sont les personnes âgées, ce qui correspond naturellement au papier qu’il utilise et à son style détaillé : les marques de poste et la typographie fusionnent avec les traits de plume pour créer un ensemble captivant.
Mark Powell
Beauty and hard work (2023)
Dessin au stylo à bille sur un ancien plan de Paris
31 x 41 cm
850 euros
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Image: Mark Powell
Avec l’humble stylo à bille comme outil de prédilection, Powell, installé à Londres, crée des portraits complexes sur des documents anciens. Ses sujets préférés sont les personnes âgées, ce qui correspond naturellement au papier qu’il utilise et à son style détaillé : les marques de poste et la typographie fusionnent avec les traits de plume pour créer un ensemble captivant.
Anna De Leidi
A constant state of poisoning (2020)
Collage et matériaux mixtes
35 x 25 cm
900 euros
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Image: Anna De Leidi
Pour cette première collaboration entre Anna de Leidi et la Loo & Lou, l’artiste italienne est invitée à investir les murs de l’Atelier par un ensemble de collages commencés durant l’isolement des premiers confinements.
Partant d’une intuition, Anna de Leidi se fournit dans un stock de coupures diverses, d’images d’archives et de magazines pour les assembler selon un développement artistique et personnel nourri de références à l’histoire de l’art et à la vie politique – notamment les avants-gardes artistiques et les mouvements contestataires. Les images d’archives superposées accumulent les couches de sens, sans renier l’abstraction due à l’harmonie fortuite des couleurs et des formes des papiers déchirés. Sans prédétermination, mise à part celle de cette première intuition, le collage se déploie et se compose pour former une oeuvre agrémentée d’un titre évocateur, parfois aux frontières de la poésie.
L’artiste résume sa recherche ainsi : « Narration, composition, couleur ».
Anna De Leidi
You snooze you lose (me) (2021)
Collage
28,8 x 21 cm
760 euros
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Image: Anna De Leidi
Pour cette première collaboration entre Anna de Leidi et la Loo & Lou, l’artiste italienne est invitée à investir les murs de l’Atelier par un ensemble de collages commencés durant l’isolement des premiers confinements.
Partant d’une intuition, Anna de Leidi se fournit dans un stock de coupures diverses, d’images d’archives et de magazines pour les assembler selon un développement artistique et personnel nourri de références à l’histoire de l’art et à la vie politique – notamment les avants-gardes artistiques et les mouvements contestataires. Les images d’archives superposées accumulent les couches de sens, sans renier l’abstraction due à l’harmonie fortuite des couleurs et des formes des papiers déchirés. Sans prédétermination, mise à part celle de cette première intuition, le collage se déploie et se compose pour former une oeuvre agrémentée d’un titre évocateur, parfois aux frontières de la poésie.
L’artiste résume sa recherche ainsi : « Narration, composition, couleur ».
Anna De Leidi
The queer art of failure - tra il dire et il fare (2022)
Collage
28,8 x 21 cm
760 euros
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Image: Anna De Leidi
Pour cette première collaboration entre Anna de Leidi et la Loo & Lou, l’artiste italienne est invitée à investir les murs de l’Atelier par un ensemble de collages commencés durant l’isolement des premiers confinements.
Partant d’une intuition, Anna de Leidi se fournit dans un stock de coupures diverses, d’images d’archives et de magazines pour les assembler selon un développement artistique et personnel nourri de références à l’histoire de l’art et à la vie politique – notamment les avants-gardes artistiques et les mouvements contestataires. Les images d’archives superposées accumulent les couches de sens, sans renier l’abstraction due à l’harmonie fortuite des couleurs et des formes des papiers déchirés. Sans prédétermination, mise à part celle de cette première intuition, le collage se déploie et se compose pour former une oeuvre agrémentée d’un titre évocateur, parfois aux frontières de la poésie.
L’artiste résume sa recherche ainsi : « Narration, composition, couleur ».
Anna De Leidi
The boatbuilder (2020)
Collage
28,8 x 21 cm
760 euros
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Image: Anna De Leidi
Pour cette première collaboration entre Anna de Leidi et la Loo & Lou, l’artiste italienne est invitée à investir les murs de l’Atelier par un ensemble de collages commencés durant l’isolement des premiers confinements.
Partant d’une intuition, Anna de Leidi se fournit dans un stock de coupures diverses, d’images d’archives et de magazines pour les assembler selon un développement artistique et personnel nourri de références à l’histoire de l’art et à la vie politique – notamment les avants-gardes artistiques et les mouvements contestataires. Les images d’archives superposées accumulent les couches de sens, sans renier l’abstraction due à l’harmonie fortuite des couleurs et des formes des papiers déchirés. Sans prédétermination, mise à part celle de cette première intuition, le collage se déploie et se compose pour former une oeuvre agrémentée d’un titre évocateur, parfois aux frontières de la poésie.
L’artiste résume sa recherche ainsi : « Narration, composition, couleur ».
Christophe Miralles
Quatre saisons 4 (2022)
Papier
45 x 32 cm
780 euros
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Né en 1970, Christophe Miralles est un artiste franco-espagnol qui vit et travaille entre la Bourgogne et Casablanca.
Son œuvre se nourrit de diverses sources qui reviennent à ses origines : de sa rencontre avec le Maroc, on peut noter des influences entre les deux rives de la méditerranée, qui dès lors ne cessent de se télescoper. La peinture espagnole du Siècle d’Or a sans aucun doute scellé son rapport à la lumière et les compositions : nous pouvons apercevoir dans son œuvre l’empreinte de figures telles que Velázquez, Zurbarán ou El Greco.
Des figures humaines suspendues dans le vide hantent ses toiles laissant transparaître un sentiment d’inquiétude et une certaine nostalgie. Ce sont des figures dépersonnalisées, dépourvues d’identité, qui nous rappellent celles de Francis Bacon. La combinaison de formes simplifiées et de nuances subtiles de couleurs permet de donner à ses peintures un aspect intemporel où la matière reste le sujet central.
L’artiste propose une série de peintures à l’huile, de papiers et de laques qu’il a regroupé en avril 2018 à la galerie Loo & Lou sous le titre de Territoire Unique. Il nous parle d’humanité, de voyage, de tolérance. La couleur brûle ses toiles, enflamme l’espace et puis la cendre vient se déposer sur ses grands papiers noirs. Une peinture ancrée dans l’instant de notre société contemporaine. Un territoire qu’il souhaite unique pour tous. Cette proposition est complémentée et nourrie par l’exposition Vertige du monde de l’artiste Flo Arnold, présentée parallèlement à L’Atelier de la galerie Loo & Lou.
Il a obtenu plusieurs prix artistiques tels que le Grand prix Claire Combes de la Fondation Taylor en 2007, le Prix Azart en 2005 ou le Prix Charles Oulmont en 2004, qu’il a reçu avec mention du jury. Son travail a fait l’objet de nombreuses expositions monographiques en France comme à l’étranger et son œuvre intègre plusieurs collections. Il a également participé dans plusieurs foires, dont JustMad (Madrid, Espagne) avec la galerie Loo & Lou en 2019, la Biennale de Marrakech (Marrakech, Maroc) ou Art Up (Lille, France) en 2016.
Christophe Miralles
Quatre saisons 3 (2022)
Papier
45 x 32 cm
780 euros
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Né en 1970, Christophe Miralles est un artiste franco-espagnol qui vit et travaille entre la Bourgogne et Casablanca.
Son œuvre se nourrit de diverses sources qui reviennent à ses origines : de sa rencontre avec le Maroc, on peut noter des influences entre les deux rives de la méditerranée, qui dès lors ne cessent de se télescoper. La peinture espagnole du Siècle d’Or a sans aucun doute scellé son rapport à la lumière et les compositions : nous pouvons apercevoir dans son œuvre l’empreinte de figures telles que Velázquez, Zurbarán ou El Greco.
Des figures humaines suspendues dans le vide hantent ses toiles laissant transparaître un sentiment d’inquiétude et une certaine nostalgie. Ce sont des figures dépersonnalisées, dépourvues d’identité, qui nous rappellent celles de Francis Bacon. La combinaison de formes simplifiées et de nuances subtiles de couleurs permet de donner à ses peintures un aspect intemporel où la matière reste le sujet central.
L’artiste propose une série de peintures à l’huile, de papiers et de laques qu’il a regroupé en avril 2018 à la galerie Loo & Lou sous le titre de Territoire Unique. Il nous parle d’humanité, de voyage, de tolérance. La couleur brûle ses toiles, enflamme l’espace et puis la cendre vient se déposer sur ses grands papiers noirs. Une peinture ancrée dans l’instant de notre société contemporaine. Un territoire qu’il souhaite unique pour tous. Cette proposition est complémentée et nourrie par l’exposition Vertige du monde de l’artiste Flo Arnold, présentée parallèlement à L’Atelier de la galerie Loo & Lou.
Il a obtenu plusieurs prix artistiques tels que le Grand prix Claire Combes de la Fondation Taylor en 2007, le Prix Azart en 2005 ou le Prix Charles Oulmont en 2004, qu’il a reçu avec mention du jury. Son travail a fait l’objet de nombreuses expositions monographiques en France comme à l’étranger et son œuvre intègre plusieurs collections. Il a également participé dans plusieurs foires, dont JustMad (Madrid, Espagne) avec la galerie Loo & Lou en 2019, la Biennale de Marrakech (Marrakech, Maroc) ou Art Up (Lille, France) en 2016.
Christophe Miralles
Quatre saisons 2 (2022)
Papier
45 x 32 cm
780 euros
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Né en 1970, Christophe Miralles est un artiste franco-espagnol qui vit et travaille entre la Bourgogne et Casablanca.
Son œuvre se nourrit de diverses sources qui reviennent à ses origines : de sa rencontre avec le Maroc, on peut noter des influences entre les deux rives de la méditerranée, qui dès lors ne cessent de se télescoper. La peinture espagnole du Siècle d’Or a sans aucun doute scellé son rapport à la lumière et les compositions : nous pouvons apercevoir dans son œuvre l’empreinte de figures telles que Velázquez, Zurbarán ou El Greco.
Des figures humaines suspendues dans le vide hantent ses toiles laissant transparaître un sentiment d’inquiétude et une certaine nostalgie. Ce sont des figures dépersonnalisées, dépourvues d’identité, qui nous rappellent celles de Francis Bacon. La combinaison de formes simplifiées et de nuances subtiles de couleurs permet de donner à ses peintures un aspect intemporel où la matière reste le sujet central.
L’artiste propose une série de peintures à l’huile, de papiers et de laques qu’il a regroupé en avril 2018 à la galerie Loo & Lou sous le titre de Territoire Unique. Il nous parle d’humanité, de voyage, de tolérance. La couleur brûle ses toiles, enflamme l’espace et puis la cendre vient se déposer sur ses grands papiers noirs. Une peinture ancrée dans l’instant de notre société contemporaine. Un territoire qu’il souhaite unique pour tous. Cette proposition est complémentée et nourrie par l’exposition Vertige du monde de l’artiste Flo Arnold, présentée parallèlement à L’Atelier de la galerie Loo & Lou.
Il a obtenu plusieurs prix artistiques tels que le Grand prix Claire Combes de la Fondation Taylor en 2007, le Prix Azart en 2005 ou le Prix Charles Oulmont en 2004, qu’il a reçu avec mention du jury. Son travail a fait l’objet de nombreuses expositions monographiques en France comme à l’étranger et son œuvre intègre plusieurs collections. Il a également participé dans plusieurs foires, dont JustMad (Madrid, Espagne) avec la galerie Loo & Lou en 2019, la Biennale de Marrakech (Marrakech, Maroc) ou Art Up (Lille, France) en 2016.
Joël Person
La Colombière 2 (1999)
Huile sur carton
39 x 60 cm
880 euros
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